Association loi 1901 |
| | Le Coryza | |
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Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Le Coryza Mer 15 Sep 2010, 19:55 | |
| Le syndrome coryza félin
Définition : Le coryza est une maladie respiratoire fréquente chez le chat surtout dans les collectivités de chats (chatteries, chats errants). Il s’agit d’une « grippe » du chat. Il regroupe plusieurs agents pathogènes qui sont des virus. On retrouve deux types de virus : calicivirus et l’herpès virus de type 1. Il est fréquent de rencontrer des surinfections à chlamydia (bactéries intra-celluaire). Il est important de retenir deux choses à propos de ces virus. Ils sont très résistants dans le milieu extérieur d’où l’extrême contagion de ces 2 pathologies. Le calicivirus a une capacité de mutation c’est-à-dire qu’il se transforme en une nouvelle souche virale afin d’échapper aux défenses immunitaires de son hôte (à savoir votre chat) échappant ainsi partiellement à la vaccination. Ceci explique qu’un certain nombre de chats vaccinés développent malgré tout la maladie. La maladie se transmet par les écoulements nasaux et oculaires ainsi que la salive. Le pic d’infection de la maladie est en hiver. Les chats ayant été infectés une fois par les virus sont considérés comme des porteurs chroniques. Ils peuvent, lors de stress au sens large (déménagement, introduction d’un autre animal, anesthésie, traitement immuno-suppresseur, leucose, FIV, ect…), déclencher des symptômes de coryza. Ils sont également source d’infection pour leurs congénères. Symptômes et diagnostic Les symptômes, les premiers jours, sont de la fièvre et une baisse de l’appétit. Puis se développent des symptômes respiratoires : éternuments, nez qui coule, yeux rouges, chat qui bave et qui a du mal à manger (difficultés à mâcher et à avaler). Ceci est lié souvent à la présence d’ulcères buccaux (sortes d’aphtes) sur la langue et le palais ainsi que de stomatites (gencives rouges). Le chat peut également développer des ulcères cornéens. Les complications fréquentes sont les surinfections respiratoires avec une évolution vers une pneumonie, pouvant entraîner le décès de l’animal. Une guérison est obtenu en une 10 zaine de jours. Le diagnostic est clinique (symptômes et historique de l’animal). On peut également recherché par prélèvements buccaux ou oculaires, les 2 virus (technique PCR) afin de déterminer le statut de l’animal vis-à-vis de ces deux virus. Une radiographie pulmonaire peut vous êtes proposé afin de rechercher des signes de pneumonie. Traitement : Comme toute maladie virale, il n’y a pas de traitement direct contre le virus. On va alors gérer les complications. Lors de symptômes respiratoires, on proposera, en fonction de l’intensité des symptômes, une mise sous antibiotiques pour limiter les surinfections. Les anti-inflammatoires sont indiqués lors de fièvre intense afin de permettre au chat de retrouver l’appétit. Une aérosolthérapie (inhalation) permet de dégager les voies respiratoires. Votre vétérinaire vous expliquera la mise en œuvre de celle-ci. Pour les aphtes, on peut appliquer des gels anesthésiques sur les lésions afin de soulager l’animal. En cas de symptômes buccaux plus intense, un bilan bucco-dentaire associé à des soins plus spécifiques (extraction dentaire) peut être nécessaire. Les complications oculaires (ulcères cornéens) sont traités par des collyres ou parfois nécessitent même une chirurgie. Actuellement de nouveaux traitements peuvent être proposé afin de renforcer le système immunitaire du chat ce qui permettra de se débarrasser du virus ou de diminuer le nombre de virus (charge virale). Il s’agit des traitements à base d’interféron (locale ou par voie générale). Leur efficacité à ce jour est peu connue. Prophylaxie Le meilleur moyen de prévention du coryza est la vaccination. On débute les vaccinations dès l’âge de 6 semaines avec un rappel 1 mois plus tard puis tous les ans. Si vous avez hébergé un chat porteur, bien désinfecter avec de l’eau de javel les lieux où celui-ci à séjourner. Le mieux est de faire un vide sanitaire avant d’introduire un nouveau chat (7 jours). En communauté (chatteries, élevage) cela n’est toujours pas techniquement possible. On choisira d’isoler les animaux malades des sains.
Dr Marianne Rouby
Un second article que m'a envoyé Angel et que je remercie.
Le coryza du chat appelé aussi plus simplement « grippe » du chat a des causes multiples.
- L’herpèsvirus qui se transmet par la voie nasale (contact direct ou donné par la mère à son chaton) et qui provoque une kératite ulcéreuse avec conjonctivite, un jetage purulent et une trachéite sévère. Il présente la capacité d'infecter le ganglion trijumeau où il reste en latence jusqu'à ce qu'un événement le réactive (glucocorticoïdes, lactation, changement de milieu, etc...). Peu résistant dans le milieu extérieur.
- Le calicivirus excrété par la salive, le jetage nasal ou oculaire et qui se propage par la voie oronasale, donne un jetage séreux, une conjonctivite mais aussi et surtout une stomatite (langue) ulcéreuse avec ptyalisme (salivation abondante) et une anorexie suite à la difficulté d’avaler causée par la douleur provoquée par les ulcères. Chez le chaton, il se produit parfois aussi des arthrites légères et transitoires. Très résistant dans le milieu extérieur (jusqu'à 28 jours à température ambiante et plus s'il est dans du matériel organique). Il est à noter qu'il peut aussi parfois provoquer une pneumonie.
Deux nouveautés scientifiques au sujet des calicivirus :
* Le phénomène de la quasi-espèce : c'est un virus à ARN qui subi des erreurs de copiage lors de sa multiplication chez le chat. Ce dernier peut donc être contaminé par des virus ayant un haut degré de parenté mais qui présentent malgré tout des petites différences responsables de résistances et de chronicité, c'est pourquoi il faut bien choisir un vaccin pouvant protéger le chat contre ce phénomène. * L'apparition aux USA (il n'y a pas encore de cas recensés en Europe) d'une souche hypervirulente qui entraîne des hémorragies avec un taux de mortalité pouvant atteindre 50% ! Elle présente une grande ressemblance avec la maladie hémorragique du lapin. Pour une raison encore inconnue, on l'observe de manière sporadique à certains endroits et elle disparaît en 7 à 8 semaines après s'être manifestée par les signes classiques de la calicivirose accompagnés d'une jaunisse, d'oedèmes cutanés, de croûtes, de pertes de poils et d'ulcères au niveau de la peau, on constate aussi des vomissements et de la diarrhée suivis d'ecchymoses, d'epistaxis et d'hémorragies.
- Le réovirus qui provoque une rhinite et une conjonctivite séreuses et une stomatite.
Une fois la guérison obtenue par des antibiotiques et des anti-inflammatoires spécifiques au chat les récidives sont fréquentes. Pour éviter ce problème il faut vacciner le chat. NB : il existe aussi la chlamydiose féline qui provoque de l’anorexie, une conjonctivite séreuse puis purulente et une rhinite purulente. Elle touche principalement les jeunes chats et peut déboucher sur une pneumonie pouvant entraîner la mort de 30% des jeunes chats. Si je l’ai mise à part c’est que certains la classe dans la rubrique coryza, d’autres pas.
Dernière édition par Delphine le Lun 20 Fév 2012, 11:34, édité 1 fois | |
| | | plumedange Surbooké ^^
Messages : 1719 Date d'inscription : 24/04/2011
| Sujet: Re: Le Coryza Ven 03 Juin 2011, 21:31 | |
| vu sur rescue: http://rescue.forumactif.com/t328062-besoin-de-conseil
ça peut peut être vous donner un coup de pouce? | |
| | | Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Re: Le Coryza Sam 04 Juin 2011, 06:08 | |
| Bonjour J'ai lu, je vais voir ce que c'est ce produit, merci beaucoup pour le lien Plumedange | |
| | | Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Re: Le Coryza Sam 04 Juin 2011, 06:20 | |
| J'ai trouvé la fiche du médicament : Résumé des caractéristiques du produit 1. Dénomination du médicament vétérinaire
CLINDASEPTIN 300 MG COMPRIMES
2. Composition qualitative et quantitative
Clindamycine .................................................... (sous forme de chlorhydrate) 300 mg
Excipient QSP 1 comprimé sécable de 1848 mg
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique « Liste des excipients ».
3. Forme pharmaceutique
Comprimé. Comprimé de forme oblongue, blanc à blanc cassé, portant une barre de sécabilité sur une face.
4. Informations cliniques 4.1. Espèces cibles
Chiens.
4.2. Indications d'utilisation, spécifiant les espèces cibles
Chez les chiens : - Traitement des plaies infectées, des abcès et des infections de la cavité buccale et dentaires causées par ou associées aux germes sensibles à la clindamycine suivants : Staphylococcus spp, Streptococcus spp, Bacteroides spp, Fusobacterium necrophorum et Clostridium perfringens.
- Traitement de l'ostéomyélite à Staphylococcus aureus.
4.3. Contre-indications
Ne pas utiliser en cas d'hypersensibilité connue à la clindamycine ou à la lincomycine. Ne pas administrer aux lapins, hamsters, cobayes, chinchillas, chevaux ou ruminants car l'ingestion de la clindamycine par ces espèces pourrait provoquer de graves troubles gastro-intestinaux.
4.4. Mises en garde particulières à chaque espèce cible
Aucune.
4.5. Précautions particulières d'emploi i) Précautions particulières d'emploi chez les animaux
Lors d'un traitement se prolongeant pendant au moins un mois, des tests de l'exploration fonctionnelle hépatique et rénale et des hémogrammes doivent être périodiquement effectués. Chez les chiens ayant des troubles rénaux et/ou hépatiques graves, s'accompagnant de graves aberrations métaboliques, la posologie à administrer doit être déterminée avec soin et leur état doit être surveillé en effectuant des analyses sériques pendant le traitement.
ii) Précautions particulières à prendre par la personne qui administre le médicament vétérinaire aux animaux
Bien se laver les mains après l'administration du produit. Les personnes ayant une hypersensibilité connue aux lincosamides (lincomycine, clindamycine) ne doivent pas manipuler ce produit. Ne pas manger, boire ou fumer pendant la manipulation du produit.
iii) Autres précautions
Aucune.
4.6. Effets indésirables (fréquence et gravité)
Des vomissements et des diarrhées ont parfois été observés. La clindamycine peut favoriser la prolifération des germes non sensibles tels que les clostridies résistantes et les levures. En cas de surinfection, des mesures appropriées doivent être prises en fonction de la situation clinique.
4.7. Utilisation en cas de gravidité et de lactation ou de ponte
Bien que des études réalisées avec de fortes doses chez le rat aient suggéré l'absence d'effet tératogène et une action non significative sur les performances reproductrices des mâles et des femelles, l'innocuité de la spécialité chez les chiennes en gestation et allaitantes ou chez les reproducteurs n'a pas été établie. L'utilisation de la spécialité pendant la gestation et la lactation devra faire l'objet d'une évaluation du rapport bénéfice / risque par le vétérinaire.
4.8. Interactions médicamenteuses et autres
Des effets curarisants ont été observés avec la clindamycine, ce qui peut éventuellement amplifier l'activité d'autres curarisants. L'utilisation simultanée de tels produits doit être faite avec précaution. Ne pas utiliser la clindamycine en même temps que le chloramphénicol ou des macrolides car leur site d'action est également la sous-unité 50-S, et il est possible que des effets antagonistes se développent. Lors de l'usage simultané de la clindamycine et d'aminosides (par exemple la gentamicine), on ne peut exclure le risque d'interactions indésirables (insuffisance rénale aiguë).
4.9. Posologie et voie d'administration
Administration par voie orale.
- Plaies infectées, abcès ou infections de la cavité buccale et dentaires :
5,5 mg de clindamycine par kg toutes les 12 heures pendant 7 à 10 jours (soit un comprimé pour 54 kg de poids corporel deux fois par jour) par voie orale. Si aucune amélioration n'est observée après 4 jours, il sera nécessaire de vérifier à nouveau la sensibilité des germes.
En cas de traitement dentaire/chirurgical dû à l'infection, le traitement peut être instauré avant l'intervention.
- Ostéomyélite :
11 mg de clindamycine par kg toutes les 12 heures pendant au moins 4 semaines (soit 2 comprimés pour 54 kg de poids corporel deux fois par jour) par voie orale. Si aucune amélioration n'est observée après 14 jours, il sera nécessaire de vérifier à nouveau la sensibilité des germes.
Le traitement par la spécialité doit reposer sur des tests de sensibilité.
4.10. Surdosage (symptômes, conduite d'urgences, antidotes) si nécessaire
Des doses de 300 mg/kg ont été tolérées par des chiens sans qu'il y ait eu de d'effets indésirables. Des vomissements, de l'inappétence, des diarrhées, une leucocytose et des augmentations des enzymes hépatiques (AST, ALT) ont été observés occasionnellement. Dans de tels cas, interrompre immédiatement le traitement et mettre en place un traitement symptomatique.
4.11. Temps d'attente
Sans objet.
5. Propriétés pharmacologiques
Groupe pharmacothérapeutique : lincosamides, antibactériens pour usage systémique. Code ATC-vet : QJ01FF01.
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
La clindamycine est un analogue chloré de la lincomycine. Elle agit en inhibant la synthèse des protéines bactériennes. Le couplage réversible à la sous-unité 50-S du ribosome bactérien inhibe la translation des acides aminés liés à l'ARNt, empêchant ainsi l'élongation de la chaîne peptidique. C'est la raison pour laquelle le mode d'action de la clindamycine est principalement bactériostatique. La clindamycine a montré une activité in vitro contre les germes suivants : Staphylococcus spp, Streptococcus spp, Bacteroides spp, Fusobacterium spp, Clostridium spp. La clindamycine et la lincomycine ont des résistances croisées, ce qui est également courant entre l'érythromycine et d'autres antibiotiques de la famille des macrolides. Une résistance acquise peut également apparaître par méthylation du site de liaison ribosomique après mutation chromosomique par les germes à Gram positif ou après médiation plasmidique par les germes à Gram négatif.
5.2. Caractéristiques pharmacocinétiques
La clindamycine est presque entièrement absorbée après administration orale. Des concentrations sériques maximales de 3,3 µg/ml (avec nourriture) ou de 5,0 µg/ml (à jeun) sont obtenues approximativement 1 heure après l'administration d'une dose de 10 mg/kg. La clindamycine est largement distribuée et peut se concentrer dans certains tissus. La demi-vie d'élimination de la clindamycine est de l'ordre de 4 heures. Approximativement 70 % de la clindamycine sont excrétés dans les selles et environ 30 % dans les urines.
6. Informations pharmaceutiques 6.1. Liste des excipients
Ludipress (lactose monohydraté, povidone, crospovidone) Laurilsulfate de sodium Silice colloïdale anhydre Stéarate de magnésium Cellulose microcristalline
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
4 ans (flacon). 2 ans (plaquette thermoformée).
6.4. Précautions particulières de conservation
Aucune.
6.5. Nature et composition du conditionnement primaire
Flacon polyéthylène haute densité Bouchon sécurité enfant polypropylène Plaquette thermoformée aluminium trempe douce/aluminium trempe dure
6.6. Précautions particulières à prendre lors de l'élimination de médicaments non utilisés ou de déchets dérivés de l'utilisation de ces médicaments
Les conditionnements vides et tout reliquat de produit doivent être éliminés suivant les pratiques en vigueur régies par la réglementation sur les déchets.
7. Titulaire de l'autorisation de mise sur le marché
CHANELLE ANIMAL HEALTH 7 RODNEY STREET L1 9HZ LIVERPOOL ROYAUME-UNI
8. Numéro d'autorisation de mise sur le marché
Boîte de 3 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681838 0 Boîte de 5 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681839 7 Boîte de 7 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681844 0 Boîte de 10 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681845 7 Boîte de 14 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécable : 681846 3 Boîte de 15 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681859 8 Boîte de 21 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681861 2 Boîte de 25 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681862 9 Boîte de 28 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681863 5 Boîte de 30 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681867 0 Boîte de 35 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681868 7 Boîte de 42 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681878 2 Boîte de 49 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681884 2 Boîte de 50 plaquettes thermoformées de 2 comprimés sécables : 681889 4 Flacon de 6 comprimés sécables : 681900 8
Flacon de 10 comprimés sécables : 681901 4 Flacon de 14 comprimés sécables : 681902 0 Flacon de 16 comprimés sécables : 681944 5 Flacon de 20 comprimés sécables : 681945 1 Flacon de 28 comprimés sécables : 681946 8 Flacon de 30 comprimés sécables : 681993 6 Flacon de 42 comprimés sécables : 682007 5 Flacon de 50 comprimés sécables : 682008 1 Flacon de 56 comprimés sécables : 682251 3 Flacon de 60 comprimés sécables : 682258 8 Flacon de 70 comprimés sécables : 682259 4 Flacon de 84 comprimés sécables : 682267 7 Flacon de 98 comprimés sécables : 682268 3 Flacon de 100 comprimés sécables : 682270 8
9. Date de première autorisation et de renouvellement de l'autorisation, le cas échéant
29/05/2009
10. Date de mise à jour du résumé des caractéristiques du produit
03/12/2010
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| | | Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Re: Le Coryza Sam 04 Juin 2011, 06:22 | |
| L'équivalent humain:
DALACINE : ses indications - Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la clindamycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
- En curatif :
Elles sont limitées aux infections sévères, dues aux germes définis comme sensibles dans leurs manifestations :
. ORL,
. bronchopulmonaires,
. stomatologiques,
. cutanées,
. génitales,
. ostéo-articulaires,
. abdominales post-chirurgicales,
. septicémiques.
A l'exception des infections méningées, même à germes sensibles, en raison d'une diffusion insuffisante de cet antibiotique dans le LCR.
- En prophylaxie :
Prophylaxie de l'endocardite infectieuse au cours des soins dentaires et d'actes portant sur les voies aériennes supérieures lors de soins ambulatoires en cas d'allergie aux bêtalactamines.
- Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
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| | | JulieEtpatati
Messages : 2 Date d'inscription : 18/06/2011
| Sujet: Homéo Sam 18 Juin 2011, 13:39 | |
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| | | Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Re: Le Coryza Lun 20 Fév 2012, 11:36 | |
| Bonjour,
Le message de base a été édité avec un nouvel article, je vous laisse découvrir. La science progresse et nous apporte davantage d'informations en ce qui concerne les maladies. | |
| | | Delphine Chatmicâlien(ne) confirmé(e)
Messages : 10196 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 129 Localisation : Abbeville
| Sujet: Re: Le Coryza Jeu 06 Sep 2012, 11:55 | |
| Bonjour,
Ci-dessous quelques renseignements supplémentaires pour mieux connaitre la maladie :
Les cibles préférentielles du coryza
Les chats soumis à des situations stressantes (déménagement, changement de propriétaire
) et les chats vivant en groupe sont plus enclins à développer un coryza. En effet, le chat étant territorial et souvent solitaire est soumis à un stress constant lorsqu'il est maintenu enfermé avec plusieurs autres congénères. En outre, le coryza étant très contagieux, la maladie se répand rapidement d'un chat à l'autre. Les chatons entre 2 et 12 semaines sont également particulièrement sensibles, au moment ou l'immunité transmise par leur mère faiblit mais qu'ils ne sont pas encore couverts par la vaccination. Enfin, les chats porteurs des virus d'immunodéficience féline et/ou de leucose sont plus exposés à développer un coryza, et ce de manière chronique. | |
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